Il faut dire que la météo avait été défavorable, début avril sur les côtes chiliennes, et le départ de Valdivia s’en était retrouvé retardé d’autant. Et pendant la traversée, plusieurs jours de vent de face ont également ralenti la bonne marche du voilier. Cela n’a toutefois pas empêché de déployer l’hydrophone en quasi permanence, de précéder à des échantillonnages d’eau de mer, et même... de s’accorder une courte halte baignade, par temps calme et sur un océan d’huile!
Mais on reviendra plus en détail sur cette première partie de la TRES grande traversée, celle du Pacifique...